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Blessure – L’usage des gels anti-inflammatoires en course à pied

5 avril 2011
Récemment, l’Afssaps, l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, a publié une liste de médicaments placés sous haute surveillance. Dans cette liste figure le Ketum gel et ses génériques -qui avait déjà été retirés du marché en décembre 2009 puis réautorisés-, un médicament bien connu des sportifs et des runners souvent utilisé pour traiter les tendinites.  Le ketum gel contient du kétoprofène, un anti-inflammatoire qui lutte contre la douleur, mais qui peut provoquer des réactions allergiques suite à une exposition au soleil… ceci expliquant cela…

C’est l’occasion de faire le point sur l’utilisation des anti-inflammatoires en course à pied.

Qu’on ne se voile pas la face, quand un coureur souffre, il cherche souvent un soulagement rapide pour pouvoir s’adonner à nouveau à sa passion rapidement. En ce sens, les gels anti-inflammatoires peuvent aider mais leur utilisation est à
double tranchant. Le gel anti-inflammatoire soulage mais ne va pas chercher la cause du mal. Aussi leur utilisation sera d’autant plus efficace si elle s’insère dans une véritable stratégie thérapeutique. Dans le cas contraire, une tendinite mal soignée pourra s’installer durablement, plusieurs mois, devenir chronique et miner le moral du coureur 🙁

… La bonne nouvelle c’est que le coureur, s’il sait s’entourer de vrais spécialistes du sport, comme les podologues ou les ostéopathes, pourra plus rapidement identifier la cause de la tendinite :

– Ya t’il surentrainement : augmentation du nombre de sorties ou de leurs durées, augmentation de la vitesse, mise en place de fractionnés, etc.
– Y a t’il eu un changement d’habitude : passage sur piste ou bitume ;
– Ya t’il un problème d’équipement : chaussures usées, nouvelles chaussures qui ne conviennent pas ;
– Y a t’il un problème morphologique : modification de la foulée, jambe légèrement plus courte que l’autre, une position pronatrice non corrigée.

… et se soigner convenablement en changeant ses habitudes pour courir à nouveau sans porter atteinte à son intégrité physique.

Et vous ? Avez-vous souvent recours aux gels anti-inflammatoires ?
Si ce n’est pas le cas, comment soignez-vous vos tendinites ?

Dans un prochain article,  on pourra évoquer des solutions alternatives aux anti-inflammatoires comme les gels à base de silicium dont il a été question hier sur wanarun
😉
Avr 5, 2011laredac
Entrainement - Courir à JeunSpécial femme - Marathon au féminin
Comments: 8
  1. odile
    18 août 2013 at 11 h 33 min

    fracture de fatgue ca me soulage car le gel a 1 effet glacon

    ReplyCancel
  2. calimero13990
    6 avril 2011 at 18 h 57 min

    Marathonien, je suis un grand consommateur de Kétum et j'avoue que j'avais très mal compris le retrait du marché de ce produit du fait d'une mauvaise utilisation au soleil!
    Par contre dire que l'effet est radical est sans doute exagéré mais bon on se rassure comme on peut non?

    ReplyCancel
  3. Daniel
    5 avril 2011 at 12 h 24 min

    Toute plaisanterie à part, Julie a raison avec les petits pois, tous simplement parce que, de petite taille, ils permettent au "pack" de bien épouser la forme de la zone traitée (avec le bloc cubique d'épinards, c'est pas gagné...)

    Devant une périostite récidivante, et surtout chronique ou anormalement durable, il faut vérifier l'absence de fracture de fatigue (ce qui signifie évidemment repos sportif absolu, voire immobilisation). Sinon, l'utilisation du MTP (massage transversal profond) est très utile, mais il faut juste une forte motivation (10 minutes au moins de pression glissée, cela tient du sado-maso !!), mais c'est efficace.

    Sonia : les anti-inflammatoires ayant une composante antalgique, cela peut expliquer une "amélioration", mais c'est forcément de courte durée, cela ne résout rien du tout au niveau pathologie initiale et... c'est un moyen qui, en autorisant à dépasser le signal d'alarme envoyé par l'os, peut se révéler très péjoratif. Je pense qu'il faut un "état des lieux" précis pour décider ou non la poursuite de l'activité de fond et, en tous cas, du traitement vraiment approprié.

    ReplyCancel
  4. sonia
    5 avril 2011 at 10 h 48 min

    ça marche avec les brocolis ? perso je souffre de périostite et c'est volatrène après chaque sorite.

    ReplyCancel
  5. Daniel
    5 avril 2011 at 10 h 14 min

    Le froid est surement le moyen le plus simple et le plus efficace à utiliser (et on peut éventuellement en cuisiner la source, selon le produit utilisé ;-) ).

    Mais surtout, une fois que l'inflammation a régressé, ne pas oublier que la cause est essentiellement mécanique, liée le plus souvent à une sur-utilisation ou à des modifications physiques (entraînement, chaussures, etc...). Donc, pour parler de choses barbantes : étirements +++ particulièrement appliqués, massages profonds avec travail électif sur les points douloureux, ... et après, petits pois-lardons !!

    ReplyCancel
  6. Julie Run
    5 avril 2011 at 9 h 46 min

    salut, à propos de glaçage, j'ai un petit truc à partager avec vous : à défaut de poche de gel suffisamment grande pour toute la zone du bas du dos, je congèle des petits pois :-) 800 grammes net de petits pois exactement :-)

    ReplyCancel
  7. Daniel
    5 avril 2011 at 7 h 29 min

    Il est important de considérer ces produits (anti-inflammatoires, antalgiques, myorelaxants) comme des adjuvants, des substances ne traitant que les SYMPTÔMES ou les complications. Il faut surtout en respecter les principes d'application (aucune molécule n'est anodine, même en usage trans-cutané - voir les problèmes cités...).

    Il est par contre capital d'identifier la CAUSE de la pathologie afin de pouvoir la traiter efficacement et d'en prévenir aussi les récidives : examen clinique méthodique, éventuellement complété par des recherches échographiques, radiologiques, scan ou IRM, etc... Puis, comme indiqué dans l'article, se poser les vrais questions pour en déterminer les causes mécaniques.

    Les substances anti-inflammatoires en usage local requièrent donc une utilisation prudente et surtout... jamais exclusive !

    Daniel, ostéopathe et coureur (ou l'inverse !...)

    ReplyCancel
  8. runmygeek
    5 avril 2011 at 7 h 07 min

    Personnellement je délaisse les gels au profit du glaçage bien efficace dans mon cas, le soulagement est instantané

    ReplyCancel

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