U-Run

Course Course Trail Entrainement
  • Actualité
    • Billets d’humeur
    • Athlétisme
    • Marques
    • i-Run
    • Team i-run
    • portraits-interviews
    • La rubrique de Sissi
  • Courses
    • 10km et semi-marathon
    • Marathon
    • Trail
    • ultra-trail
    • Cross-piste
    • Triathlon
    • Courses féminines
    • Récits
    • Résultats
  • Entrainement
    • Les fondamentaux
    • Physiologie de l’effort
    • Plan d’entrainement
    • Ppg
  • Santé
    • Nutrition
    • Blessures
    • Soins
    • Récupération
    • Ostéopathe
    • Podologue
  • Équipement
    • Chaussures
    • Textile
    • GPS
    • Accessoires
    • scoop produits
  • Vidéos
    • E-Motion Trail
    • Athlètes
    • évènements
    • produits

L’indispensable footing !

4 octobre 2023

Si vous pensez encore qu’il faut envoyer du bois en permanence, parce qu’on n’a rien sans rien, vous avez tout faux ! Ou presque.

On est d’accord que pour augmenter son niveau et obtenir une performance, il faut pousser l’organisme pour qu’il crée des adaptations.

Cela dit, 70 à 80 % de l’entraînement est fait en endurance, plus ou moins active. Footings d’échauffement, de récupération, petit trot entre deux fractions, footings en endurance, footings pré-compétitif…

Le faire est indispensable, mais encore faut-il le faire bien, et comprendre pourquoi.

Le footing, c’est pas du tempo

Mettre un petit rythme, courir au seuil, ça n’a pas les mêmes effets que courir en endurance, c’est à dire à 65/70% de la VMA ou 70/75% des pulsations maximum. Et pourtant on voit trop de monde courir trop vite, parce que « pas le temps », « pour se dépenser », ou pour faire gonfler ses moyennes.

Le but du footing, c’est à dire courir en endurance, c’est d’oxygéner le corps. Pouvoir courir sans cumuler de fatigue métabolique, musculaire. A 13,5 km/h, vous utilisez plus de muscles pour vous propulser, vous sollicitez plus les tendons, vos pieds sont plus actifs, et votre volume d’oxygène augmente sensiblement.

Le footing, c’est aussi un moment de partage, pouvoir discuter, diffuser de bonnes hormones dans le corps en partageant ça avec un copain. On est un peu moins centré sur ça et sur sa douleur, ou ses soucis, par exemple.

Les différents footings et leurs effets

Les footings dépendent donc un peu de l’allure, et du contexte.

Les footings de reprise

En début de préparation, on se doit de reprendre en adaptant l’allure, et aussi le volume général. En footing, on sollicite en douceur tout l’appareil ostéo-articulaire. Le corps doit encaisser en douceur les premières contraintes.

L’intérêt est aussi de développer le système capillaire sanguin, qui se déploie progressivement. On construit les routes avant d’y envoyer du trafic !

Donc, en début de prépa, on passe au moins deux semaines sans inclure d’allure rapide, pour déployer les vaisseaux sanguins et faire travailler les cellules.

Les footings en semaine

Ce sont tous ces footings qu’on fait entre deux séances, après un entraînement dur, en reprise après une compétition. Ces footings participent à augmenter notre kilométrage en douceur, d’une part.

Ils permettent de remettre en route l’organisme, de le chauffer en douceur, de ré adapter les fibres musculaires, d’évacuer les déchets présents dans l’organisme.

Le footing d’échauffement

Il doit commencer en douceur, bien sûr, pour augmenter la température corporelle et pouvoir solliciter de plus en plus fort les muscles et tendons. Il va donc s‘accélérer progressivement, pour finir sur un petit tempo.

Par exemple : 10 à 15 min cool, et 2 à 3 min tempo. La suite vous la connaissez : quelques mouvements d’amplitude musculaire et de tonicité + 4 lignes progressives.

Le footing de récupération

Vous avez sûrement l’habitude d’entendre que ça se fait hyper cool, lent. Pourquoi pas en footing pieds nus sur le gazon si vous êtes au stade, ça c’est pas une mauvaise idée. Le ressenti du corps, être actif, pose de pied naturelle, c’est fonctionnel et utile.

Mais très lentement, il y a très peu d’amplitude musculaire, et très peu d’échange d’oxygène, ce qui ne permet pas d’évacuer les toxines. Le footing doit être légèrement actif (5 à 10 min) puis redescendre à allure très cool progressivement (2 ou 3 min) pour faire descendre le diaphragme (qui se soulève pour permettre aux poumons de prendre ou d’expulser l’oxygène), et pour faire retomber les tensions…

Le footing entre deux fractions

À ce moment-là, l’organisme est en alerte maximum. Entre deux 400 m par exemple, vous pouvez faire le choix de trottiner légèrement, et la récupération et donc active.

Ça veut dire qu’elle participe à continuer d’oxygéner pour drainer les toxines, tout en récupérant son souffle. C’est à allure lente, pour reste en mouvement.

Mais si l’effort est intense (le but = travailler sa vitesse), une simple marche légèrement active suffit, et ça repart fort !

Les footings sont indispensables

Au vu de ces dernières explications, vous avez bien compris que le footing, y compris sur les sorties longues, a un but bien précis. Ce n’est pas simplement du « remplissage », et il faut le faire à la bonne allure.

Courir vite est nécessaire, indispensable, choquer l’organisme doit se faire intelligemment… comme les footings.

Courir vite souvent vous emmène à la fatigue ou à la blessure. Ce n’est pas être forcément plus utile qu’un footing !

Et pour apprécier vos footings, quoi de mieux que de le faire avec de la musique ! Les montres Garmin Venu proposent un contrôle et une écoute de la musique sans le téléphone, juste en connectant au téléphone portable. Il est possible de stocker les playlists directement sur la montre (abonnement Amazon Musics, Spotify ou Deezer).

Par M.BERTOS

Oct 4, 2023sylvaine
Picos de Europa avec Gore Tex et i-Run : nos aventuriers nous racontent !6 questions réponses autour de la préparation marathon

Laisser un commentaire

Facebook Twitter Youtube RSS
promo running
Nos experts

Posez votre question à nos experts

Articles récents
  • Soyez privilégiés avec la dernière opération i-Run !
  • Comment optimiser mon entraînement avec seulement deux séances par semaine ?
  • Alcool : quand les runners trinquent !
  • Entraînement : avant les gains marginaux, assurer l’essentiel…?
  • Garmin 570 et 970 : les dernières montres GPS pour les experts !
  • Top des paires idéales pour le « Maratrail », et plus !
  • On s’entraîne plus sérieusement qu’avant
  • Fraîcheur, liberté, performance : l’été selon Odlo
  • L’Adizero Adios Pro Evo 2 :
  • Courir… pour se faire remarquer ?
rubrique sissi
matériel running
Articles récents
  • Soyez privilégiés avec la dernière opération i-Run !
  • Comment optimiser mon entraînement avec seulement deux séances par semaine ?
  • Alcool : quand les runners trinquent !
  • Entraînement : avant les gains marginaux, assurer l’essentiel…?
  • Garmin 570 et 970 : les dernières montres GPS pour les experts !
  • Top des paires idéales pour le « Maratrail », et plus !
  • On s’entraîne plus sérieusement qu’avant
  • Fraîcheur, liberté, performance : l’été selon Odlo
  • L’Adizero Adios Pro Evo 2 :
  • Courir… pour se faire remarquer ?
Commentaires récents
  • David dans Préparez un 10km pour faire moins de 38 minutes
  • Elias Koech dans Semi-marathon de Boulogne Billancourt : les élites au départ
  • Jean Thomas dans Masters : les maîtres de la compétition !
  • fofo dans Chaussures : pourquoi on ne peut pas faire du 100% maximalisme en trail ?
  • fofo dans Mizuno Wave Mujin 10 : la chaussure de trail qui allie protection et performance !
  • fofo dans Mafate X : l’icône du trail réinventée pour l’ultra !
  • Mat dans Tirer la quintessence de l’entraînement polarisé
  • Mat dans Les bénéfices de la Vaporfly Next% encore démontrés
Liens
  • Asics gel Nimbus 26
  • casque conduction osseuse
  • Garmin Fenix 7
  • Garmin Fenix 8
  • i-Run.com : running, trail & hiking gears
  • i-Run.de : Dein Online-Spezialist für Laufsport, Trailrunning und Fitness
  • i-Run.es : zapatillas y ropas de running
  • i-Run.fr : vente de chaussures de running
  • Quelle Garmin choisir?